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Après le concert de Fally à « l’AccorHotels Arena », des “combattants” congolais rapatriés de France… certains dépossédés de leur nationalité

De nombreux dégâts ont été enregistrés le vendredi 28 février 2020 dernier, à l’occasion du concert de l’artiste Fally Ipupa. Car le chanteur congolais était accusé par des militants baptisés « Combattants » des partis d’opposition congolais, d’être proche du pouvoir en place en République démocratique du Congo (RDC). Ces derniers ont à cet effet, juré mettre tout en œuvre pour empêcher le concert de Fally à « L’AccordHotels Arena » de Paris.

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Le vendredi 28 février 2020, jour de ce concert, ils sont passés à l’acte. En début de soirée aux abords de la gare de Lyon et du quartier proche de Bercy, ces derniers ont incendié plusieurs scooters, poubelles, véhicules, dégageant d’épaisses fumées dans cette zone. Le bilan est lourd : une trentaine de véhicules, surtout des deux-roues, entièrement carbonisés, la partie souterraine de la gare de Lyon évacuée par précaution avec perturbation du trafic des métros et RER.

Tout cela conduit à de nombreuses arrestations et suscité la colère de nombreuses autorités et citoyens français.

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Au nombre de ces derniers considérés comme des délinquants, 51 Congolais accusés de ‘’Troubles à l’ordre Public’’, et ‘’d’actes de vandalisme’’ auraient été expulsés de France. Une autre vague suivra, dit-on dans 72heures. Les premiers expatriés de la France vers le Congo, suite aux événements malheureux lors du concert de Fally, auraient été débarqués aux environs de 19heures, dans la soirée du 1er mars, à l’Aéroport International de Ndjili de Kinshasa.

En plus d’avoir été ainsi rapatriés chez eux, ces derniers accusés en France de trouble à l’ordre public perdent de facto la nationalité française pour ceux qui l’aurait obtenue, dit-on.

Par A.K

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