Depuis le dimanche 12 février 2017, six journalistes ivoiriens dont trois patrons de presse sont retenus en garde à vue au camp de la gendarmerie d’Agban à Abidjan. Il leur est reproché d’avoir divulgué de fausses informations, suite à la récente mutinerie de soldats de la force spéciale à Adiaké. Les organisations issues de la presse nationale de Côte d’Ivoire ont initié une rencontre à la Maison de la Presse d’Abidjan, ce lundi 13 Février 2017 avec pour objectif : ‘‘la libération des journalistes mis aux arrêts’’.
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Plusieurs actions ont été décidées pour la cause, au nombre desquelles, deux délégations de journalistes formées pour aller à la rencontre des autorités ivoiriennes. Notamment les ministres Hamed Bakayoko, du ministre d’État, chargé de la Sécurité et de l’Intérieur et Koné Bruno, ministre de la Communication, de l’Economie numérique et de la Poste. En réponse à cette démarche, M. Koné Bruno, qui espère qu’une solution sera trouvée incessamment justifiait : ‘‘Nous ne sommes qu’à une étape préliminaire de l’enquête’’, a dit le Ministre de tutelle.
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