Dans la journée du mercredi 23 octobre dernier, l’artiste Mike Alabi a fait arrêter un jeune internaute par la Plcc (Plateforme de Lutte Contre la Cybercriminalité). Ce dernier a été pris dans les filets de la police chargée contre la cybercriminalité, après avoir été prévenu en vain à plusieurs reprises, selon le manager de l’artiste Maestro de Balzak.
En effet, ce jeune homme qui répond au nom de “Aristide Bi” sur les réseaux sociaux, harcèle, selon Maestro, son artiste depuis un bon moment. Ce dernier commente toutes les publications du chanteur et animateur radio à travers des propos diffamatoires. Durant tout le temps, il a accusé Mike Alabi de se faire une place dans le milieu du showbiz grâce à son “derrière”.
Traitant Alabi d’homosexuel, donc, de façon récurrente sur la toile à travers de nombreux commentaires, il a été maintes fois prévenu d’arrêter ce harcèlement et cette diffamation contre l’artiste qui a obtenu deux Primud, celui de « Meilleur Featuring Urbain » et celui de « Meilleur Artiste Variété Urbaine » lors de la dernière cérémonie.
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Diffamé par ce dernier qui continuait ses œuvres sur la toile malgré tous les avertissements reçus, Mike Alabi et son staff ont donc porté plainte contre l’indélicat à la Plateforme de Lutte Contre la Cybercriminalité. Ainsi donc, le concerné “Aristide Bi” a été appréhendé ce mercredi 23 octobre et placé en garde à vue. Mis face à ses à actes, Aristide Bi n’aurait aucune preuve de toutes ces allégations proférées. D’où, des affirmations gratuites de sa part.
Considérées comme un acte de diffamation dans le seul but de dénigrer et donc salir l’image de l’artiste, ce dernier a été enfermé et aurait passé la nuit d’hier au violon.
Suite à l’arrestation de son détracteur, Mike Amabi a avoué avoir voulu pardonner à ce dernier et le laisser rentrer chez lui. Mais dans ses faits et gestes, l’accusé n’a jamais démontré de remords.
«J’ai voulu pardonner étant chrétien, mais le concerné ne se remet aucunement en cause et n’adopte aucune posture de regret pour ses actes. Il me vilipende en public et refuse d’admettre cela en public. Et me demande pardon en cachette après avoir raconté n’importe quoi sur moi. Je n’ai jamais eu l’intention de faire enfermer l’enfant de quelqu’un. Je réclame juste réparation car il y va de mon image, de mon nom et de celui de ma famille qui ont été bafoués et vilipendés sur les réseaux sociaux. Il va recouvrer certes la liberté, mais je l’attends à nouveau. S’il n’a pas saisi le message… ». S’est exprimé Mike Alabi suite à l’arrestation de son détracteur.
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Le jeune Aristide Bi est toujours détenu aux mains de la police. Et ce qui lui est arrive, est un message qui interpelle tous ceux qui s’adonnent à ce genre d’actes sur les réseaux sociaux.
Par A.K
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