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Et pourtant on s’aimait… (Partie 8)

La jeune dame très avancée dans la boisson, se met nue et part prendre un bain, puis vient rejoindre Karl sur le lit. C’était une fille de joie, mais elle avait choisi ce métier pour avoir de l’argent rapide et payer ses études ainsi que ceux de ses frères mais aussi soigner sa mère malade. Son père était décédé lorsqu’elle était en classe de 3ème à l’âge de 15 ans.

L’année d’après sa mère a perdu son boulot et son statut de concubine ne lui permettait pas de bénéficier de sa pension. Alors ce n’était plus quelque chose de nouveau pour Anna, de coucher avec des inconnus, même si elle le faisait malgré elle.

Elle s’assit alors sur le rebord du lit se mit à pleurer un bon moment se demandant quand est-ce que cela s’arrêtera ? Il lui restait encore une année pour obtenir son diplôme de doctorat en médecine et cela lui coûtait énormément d’argent.

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Elle essuie rapidement ses larmes de peur que son amant ou client ne se réveille pour la trouver dans cet état. Sans plus tarder elle voudrait en finir avec lui et rentrer. Mais bizarrement, elle commence à regarder l’homme endormi, et une sensation inhabituelle l’envahit, elle se sentait si proche de lui. Elle avait envie de le serrer très fort dans ses bras et ressentir sa chaleur.

Chose qu’elle n’avait jamais ressenti avec ses anciens clients. Délicatement, elle commence à défaire sa ceinture, enlève le bouton de son pantalon et descend sa braguette. Puis elle sort le sexe de l’homme qu’elle enfonce dans sa gorge. Et dans d’incessants vas et vient, utilise sa langue comme arme pour neutraliser les nerfs qui commencent à se dresser.

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Un grand frisson envahit le corps de Karl qui à son réveil croyait au début être dans les bras de son épouse. – Bébé tu m’as manqué, si tu savais à quel point je te désirais tant, j’adore ce que tu me fais. Jusqu’ à ce qu’il reprenne peu à peu ses esprits et se rappelle qu’il n’était pas à la maison.

Mais l’acte était tellement bien fait qu’il refusait d’y mettre un terme. Il supposa que son ami avait finalement fait venir son épouse et pour maintenir le suspens, il ne chercha pas à la regarder. Il s’est dit intérieurement :« ça fait 6 bons mois que j’attendais ce moment faudrait pas que je le gâche. »

– Je t’aime bébé, je t’aime énormément. A suivre…

Dyl.

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