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Fin d’année mouvementée sur Abidjan

Pendant que tout le monde s’attèle aux préparatifs des fêtes du nouvel an 2018, de plus en plus de faits sociaux viennent ternir l’horizon de belles fêtes dans la capitale ivoirienne. Si ce n’est pas la série phare des enlèvements d’enfants, ce sont des accidents tragiques qui se produisent sous l’oeil médusé de la population, en passant par des grèves menées par des élèves réclamant illico leur départ pour les congés, dans les plus brefs délais.

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Le mois de Décembre est l’un des mois les plus mouvementés de l’année. Et c’est ce moment précis, que choisissent certaines personnes pour s’adonner à des pratiques inhumaines. Sur Facebook, pas une journée ne se finit sans qu’une alerte enlèvement d’enfant y soit signalée. Le plus souvent, les enfants ne sont jamais retrouvés ou ils le sont mais dans un piteux état. Les plus chanceux retrouvés, s’en sortent avec quelques séquelles comme le traumatisme ou des sévices corporels.

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Que dire des accidents de la route, dont la majorité sont du fait des chauffeurs de gbaka ou de taxis communaux/intercommunaux imprudents ou sous l’effet de la drogue, étant au volant. Viennent s’y ajouter des crashs pour le moins étonnant. Le dernier en date est celui du jeudi 14 décembre 2017, où un hélicoptère s’est écrasé sur un magasin dans la commune de Port Bouët, faisant au total 4 blessés graves.

Et maintenant un système éducatif 2017, biaisé par des élèves impatients de bénéficier de congés relatifs aux fêtes de fin d’année. Ils n’hésitent pas pour cela à déloger d’autres élèves, d’autres établissements n’ayant pas la même vision qu’eux.

Il ne reste plus qu’à prier, qu’on soit musulman ou chrétien afin de ne pas être confronté à aucune de ces tragédies.

ADT

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