L’on le dit généreux et amoureux de «Travaillement » dans le Coupé Décalé. Une affection pour les jets de billets de banque qui ont fait de lui un « maître » dans ce mouvement. Seulement, après la liberté provisoire qui lui a été accordée le jeudi 27 juillet dernier, Abdoulaye Raimi va se voir contraindre de divorcer avec son amour pour le « Travaillement ». Cela, au risque de retourner à la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (MACA).
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« Malgré le fait qu’il soit hors des barreaux, la procédure judiciaire engagée à son encontre suit son cours. Le Cabinet d’instruction continue de réunir tous les éléments permettant de déterminer si les charges contre d’Abdoulaye Raimi sont suffisantes pour qu’il soit jugé. Désormais tous ses faits et gestes seront suivis. » A-t-on appris.
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« Le Commissaire 5500 » va donc devoir se faire rare dans les espaces les plus chauds des nuits abidjanaises, s’il veut continuer à bénéficier de sa liberté provisoire. Aussi, même s’il est présent à certaines soirées, il ne pourra pas faire montre de son talent de boucantier hors pair. Difficile fardeau pour le parrain de plusieurs artistes et de soirées. Va-t-il arriver à se priver de cet aspect de sa vie ? Les jours à venir nous le diront.
KOKOA S (stagiaire)
