Share, , Google Plus, Pinterest,

Print

Posted in:

Pour ses injures grossières, Bleu Brigitte lance une terrible malédiction à Aya Robert

Le clash qui oppose depuis quelques jours le blogueur Stéphane Agbré à la comédienne Yvidero a pris ces dernières vingt quatre heures une tournure des plus désagréables. Prenant faits et causes pour Yvidero, Aya Robert, une influenceuse vivant en France a réalisé une vidéo des plus virulentes dans laquelle, sans ménager Bleu Brigitte, la mère d’Apoutchou National, elle lui a lancé des injures insupportables.

Lire aussi : Juste quelques jours après son divorce, Mani Bella apprend sur la toile le remariage de son ex-époux

Elle s’attaquait entre autres à sa vie privée, disant qu’elle aurait notamment fait un enfant bâtard, parlant de son fils Apoutchou National, qu’elle serait une femme volage. En réaction, l’actrice a lancé une terrible malédiction à Aya Robert :

‘’… Tu payeras ton insolence au prix de larmes de sang, je t’en fais la promesse, par le sang de mes règles je te maudis jusqu’à quatre générations…’’.

Pour Aya Robert, la destinatrice de cet anathème, il n’en sera rien car bleu Brigitte n’a pas compétence à la maudire parce qu’elle ne serait pas Dieu. Ses propos ont été retranscrits sur les médias sociaux, juste quelques heures après la malédiction à elle lancée par Madame Agbré :

‘’ Déjà sache que tu n’es pas DIEU et que tu ne peux rien créer dans le nom de JÉSUS, amen. Je suis née d’une mère et d’un père. Tu n’es pas ma génitrice donc tout ce que tu souhaites pour moi sera vain. Si ton fils n’a jamais insulté les entre-jambes d’une femme sur la toile. Si ton fils n’a jamais accusé, diffamé sur des pères et mères de familles et que toi en tant que mère tu n’as jamais rien dit (…) alors ta malédiction et tout ce que tu souhaites vont agir sur moi sinon retour à l’envoyeur. Dans la paix du SEIGNEUR. Paroles d’Aya ROBERT’’.

Lire aussi : Le prix des préservatifs passe de 1100 francs à 1500… les ivoiriens en colère

A la suite de ces escalades d’injures, des internautes ont suggéré que le gouvernement ivoirien s’auto-saisisse par une législation de la question de l’éducation sur les médias sociaux car il y a des limites à respecter, même dans la recherche de vues.

Diaman Emmanuel

VOUS AIMEREZ AUSSI