Le vendredi 21 mai 2021, un lycée du Nigeria, dans la localité d’Etiki a connu une effervescence inhabituelle. Un policier, accompagné de ses collègues, s’en sont allés dans le lycée pour jeunes filles où est inscrite sa fille pour donner une sévère correction à un enseignant, coupable (selon lui), d’avoir puni sa fille.
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Ils auraient violemment harcelé le directeur de l’école, déchiré le vêtement d’un enseignant et confisqué le téléphone portable d’un autre membre du collège professoral. Pourtant, selon les témoignages recueillis auprès du personnel d’éducation, la jeune élève serait arrivée dans l’établissement, affichant une coiffure différente de celle prescrite par les autorités de l’école, toute chose qui constitue un cas d’indiscipline flagrante.
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La hiérarchie des indélicats corps habillés est montée très vite au créneau pour rassurer l’opinion qu’une enquête serait ouverte afin de situer les responsabilités et que, selon le site Xibaaru de ce 24 mai 2021, ‘’le sergent de police et ses collègues qui se sont rendus à l’école pour semer le chaos ont été identifiés et qu’une enquête discrète a été ouverte comme ordonné par le commissaire de police et que les policiers ne seront pas épargnés s’ils sont reconnus coupables’’.
Diaman Emmanuel
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