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Scandale Dubaï porta potty : Voila d’ou tout est parti…

Depuis le weekend passé, une affaire fait couler beaucoup d’encre. Il s’agit du ‘Dubaï Porta potty’. Une ghanéenne est sortie du silence pour faire de graves révélations et partager son expérience.

Selon elle, de nombreuses influenceuses qui s’envolent pour Dubaï, s’y rendent pour manger des excréments humains et participent à plusieurs rituels pour de l’argent.

Racontant son horrible expérience où elle a été attirée par une amie vers un voyage tous frais payés à Dubaï, cette dame désemparée a déclaré avoir été soumise à des tortures sexuelles par ses hôtes.

Selon elle, on lui a promis 180 000 $ pour faire une pipe à l’hôte arabe pendant plus d’une heure sans interruption. Bien que ses yeux éclatent et que ses mâchoires se brisaient à cause de la poussée excessive, elle était intimidée et forcée à endurer.

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Après l’épreuve, on lui a ensuite demandé de lécher l’anus de son hôte arabe et on lui a ordonné de lui faire un ‘fétiche scat’. Le fétiche scat, c’est quand on demande à une femme de manger et de jouer avec les excréments d’un homme qui tire un plaisir sexuel de l’acte.

Cette dame a ensuite reçu seulement 5 700 $ au lieu de 180 000 et a été expulsée par son hôte et la dame qui l’a attirée à Dubaï. C’était après avoir été intimidée, humiliée et même menacée qu’elle a cessé de s’adonner à cette pratique.

Après des années, la dame a déclaré qu’elle ressentait toujours une lourde charge de culpabilité sur ses épaules compte tenu du fait qu’elle avait été émue par le style de vie luxueuse de son amie qui, selon elle, était dans des affaires légitimes.

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Elle a laissé entendre que la plupart de ces influenceuses qui prétendent être en voyage à Dubaï s’y rendent pour se livrer à des scats pour une énorme somme d’argent… une vie qu’aucune personne sensée ne devrait envier.

Rappelons qu’il existe plusieurs fétiches que les gens pratiquent pour obtenir du plaisir sexuel. Certains de ces fétiches comprennent le BDSM, le scatting, le sexe anal, l’urophilie, la vorarephilie, la quirofilia, entre autres.

Cependant, il est de notoriété publique qu’un grand nombre d’influenceuses et de célébrités africaines se rendent à Duabi pour participer à de tels fétiches moyennant des frais.

E.L.D

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