Une semaine après son 40e anniversaire, il y’a quelques jours, l’artiste nigérian Oladapo Daniel Oyebanjo alias D’banj a réagi face à une accusation d’agression sexuelle datant d’il y a une semaine sur la personne de Seyitan Babatoya;
C’est la jolie nigériane qui a accusé la célébrité d’avoir sexuellement abusée d’elle sur le réseau social Twitter. Les faits remonteraient selon elle, à l’année 2018. Suite à cette révélation qui s’est propagée comme un feu de poudres, l’artiste a instruit son équipe juridique qui a procédé à la convocation en justice de la plaignante. Cela a été assorti d’une amende de 100 millions de nairas soit 257.000 dollars.
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Extrêmement remonté contre ces allégations qu’il juge diffamatoires, D’Banj aurait poussé le bouchon de la vengeance encore plus loin. Après avoir fait enfermé Seyitan pendant plusieurs heures (en étant privée de ses affaires personnelles), l’interprète de “Fall In Love” l’aurait menacé de retirer ses propos diffamatoires auquel cas le pire restait pour elle à venir (la prison).
Durant ses heures d’enfermement, les différents comptes de la plaignante ont été piratés, l’intégralité de ses tweets portant sur l’accusation, effacés et remplacés par des messages de méa-culpa à l’endroit du chanteur. Il est apparu clairement que D’banj était derrière cette mascarade biscornue. La toile s’est mise en ébullition, les féministes et célébrités n’ont pas passé sous silence ce légendaire abus de pouvoir.
Une pétition a même été lancée à son encontre il y’a quelques heures, et a déjà récolté plus de 13.000 signatures sur les 15.000 requises. Cette pétition initiée par E Popoola, une célébrité britannique résidant au Nigeria, vise le retrait en tant qu’ambassadeur de l’artiste nigérian aux Nations Unies et l’organisation des Nations Unies pour les Femmes en Afrique. Autant dire que D’Banj est dans de beaux draps.
Carole G
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