Doit-on dire que l’Asec Mimosas est devenu le Paris Saint Germain version Côte d’Ivoire. Fort en championnat mais frileux quand il s’agit de représenter le pays sur l’échiquier continental.
Après s’être fait sortir des éliminatoires de la ligue des champions africaine, l’Asec a été relégué en coupe de la Confédération. Mais là encore, le club du président Roger Ouegnin ne fait pas le poids, puisqu’il reste sur deux résultats médiocres après deux journées.
La situation du géant ivoirien devient inquiétante et semble devenir insupportable. Les fans du club et bien d’autres supporters ivoiriens, en ont marre de vivre ces raclées à chaque saison. De quoi soulever les interrogations sur l’origine de ces échecs.
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Suite à la défaite hier (3-0) contre Rivers United, plusieurs supporters de l’Asec présents sur la toile ont accusé la direction de mal gérer cette équipe. Pour eux, on devrait leur définir l’objectif du champion de Côte d’Ivoire.
Vouloir être grand en vendant ses meilleurs joueurs pour se remplir les poches, cette habitude de la direction de l’Asec Mimosas commence à jouer négativement sur le club. Qui n’est redouté qu’à domicile.
Avec un système de recrutement pourtant très intéressant, l’Asec ne se prive de garder ses meilleurs jeunes joueurs devant les propositions des clubs européens et même rivaux sur le continent.
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Très dominante durant l’année écoulée, l’effectif des jaunes et noirs avaient pourtant toutes ses armes pour compétir en coupe CAF.
Le départ de Ki Aziz, Konaté Karim métronomes de cette équipe a laissé un grand vide en attaque malgré les nouvelles recrues. Sur tout les compartiment du terrain c’est le même cycle.
L’opinion publique ne marche pas ses mots, “si l’Asec veut devenir grand qu’il cesse d’être un club mercantile”.
Kablan Carmel
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