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Zimbabwe : à cause de la crise de la covid-19, les prostituées acceptent aussi les haricots et le maïs comme tarif pour leurs passes

Tous les moyens sont-ils bons pour s’en sortir ? Certainement pas sauf le troc comme tarif des passes des prostituées au Zimbabwe. Eh oui, la crise financière liée aux restrictions de la covid-19 ont permis aux travailleuses du sexe de Dema Growth, une localité de Zimbabwe, d’accepter désormais du maïs et des haricots comme paie pour leurs différentes passes.

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La situation que vivent ces femmes est d’autant plus alarmante que tous les bars et autres espaces de loisirs qui étaient jadis les points où elles retrouvaient facilement les clients sont dès lors fermés, la pandémie du coronavirus oblige.

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Elles ont adressé des doléances au gouvernement zimbabwéen afin, selon gnadoemagazine, que des ‘’prêts à faibles taux’’ leur soit octroyés. Signalons que pour beaucoup de ces femmes, elles ont en charge des enfants scolarisés, c’est dire combien leur détresse constitue un véritable drame.

Diaman Emmanuel

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