People : En colère, Suspect 95 promet de retrouver un internaute qui a injurié sa femme
«Toi, je vais te retrouver et on va aller jusqu’au bout… Toi et tous les autres !», réagit Suspect 95 ce samedi 19 avril sur ses réseaux sociaux. C’est justement là, sur les plateformes, que tout est parti. A l’origine, le poste peu élégant d’un internaute à l'encontre de Charline Fret, l’épouse du rappeur.
Il l’accuse d’être à l’origine de la séparation entre Suspect 95 et son ex-manager Jules Beco. Évidemment cette publication au contenu virulent a du mal à passer auprès du chanteur. «A quel moment on se dit, je vais traiter la mère des enfants de quelqu’un de tous les noms juste pour des likes ? En plus, quelqu'un qui ne fait rien de mal, juste son travail honnêtement», s’indigne l’artiste.
La jeune femme était hier, vendredi 18 avril, dans le staff d’Himra à l’Institut national de la jeunesse et des sports (Injs). Elle coordonnait la liaison au niveau de la programmation. Professionnelle et alerte, elle a tout géré jusqu’à l’arrivée du chanteur de la Drill sur la scène.
Didi B se désolidarise et condamne
Pour sa part, le rappeur Didi B s’est désolidarisé de cette publication. D’autant qu’elle donne dans les insultes, en reprochant la collaboration de Charline avec son rival artistique Himra. «Il y a un minimum de respect qu’on se doit de garder, même dans le game ou les rivalités artistiques. Insulter la femme de Suspect 95, ce n’est pas défendre qui que ce soit, c’est juste un manque d’éducation et c’est se ridiculiser en public.
Ce genre de comportement n’a aucune valeur. S’attaquer à une femme qui n’a rien demandé, c’est prouver qu’on manque d’arguments, de principes, et de dignité. Les artistes peuvent avoir des différends, ça arrive. Mais il y a une ligne qu’on ne franchit pas», répond Didi B. Avant d’ajouter : «On peut aimer un artiste, croire en son art, le soutenir à fond — mais jamais au prix de l’honneur d’une femme qui n’a rien à voir dans tout ça. Ce genre d’attitude n’élève personne. Ni toi. Ni celui que tu crois défendre. Je ne valide pas et je ne validerai jamais ce genre d’acte.»
François Yéo
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