Showbiz Ivoirien en 2019 / Gadji Céli, Fabriss Atitoh : Le père et la fille relèvent le défi

Nous sommes en 2020. Mais que remarquons-nous en jetant un regard sur le showbiz ivoirien à Paris? l inaction et le nombrilisme chronique des deux associations de producteurs ivoiriens que sont AMPPC- Diaspo et AISB-Diaspo. Même si les Yao Kouriol, Ange Gbaka, Donald Tia, Ozenfant, Jean- Jacques Washington et autres Saint-Lamour (pour ne citer que ces exemples parmi les membres des ses Associations) ont, à titre personnel, produit des évènements, force est de constater que ces Associations de promotion des la musique Ivoirienne en France, en tant qu'entités, ont plus brillé par le m as-tu- vu qui les caractérise, que par un travail véritable au service de la musique nationale. Chacun passant le plus clair de son temps à proclamer sur les réseaux sociaux qu elle était la meilleure, alors que cela ne se traduit nullement dans les actes.
C était magnifique au point que certains mélomanes lui conseillent de leur donner rendez-vous au Zénith.
Autant de raisons qui nous font dire finalement qu en 2019 Gadji Céli et Fabriss Attoh ont relevé le défi. Cette année écoulée a été aussi marquée par le concept de la SICOGI et le BADA BAR. Respectivement un cadre de diffusion de variétés ivoiriennes en Live et pour le second le temple de la Musique Tradi- Moderne en Live. Au total, 2019 a été beau. Espérons qu il en sera encore pareil (où même mieux) en 2020.
Hayden Tchétché à paris