CAN 2017: Cote d'Ivoire - Maroc: la bataille démarre hors terrain

C'est ce mardi 24 janvier que la Côte d'Ivoire affronte le Maroc dans le cadre des 8e de finale de la CAN 2017. Ce match est décisif pour chacune des deux nations car le perdant est rentre immédiatement à la maison. Avant donc l'entame de ce derby, la bataille se livre à travers la presse. Les journalistes partis couvrir cette 31e édition de la Coupe d'Afrique des Nations sont tournés vers ce match. Les champions en titre actuel pourront-ils terrasser l équipe coachée par leur ancien sélectionneur Hervé Renard? Et chacun y va de son analyse et de ses commentaires. Chacun n à ses préférences et son point de vu concernant cette rencontre.
Pour rappel, la Côte d'Ivoire a tenu en échec la RDC (2-2) qui avait battu le Maroc au premier match (1- 0). Et le Maroc a lui battu le Togo (3-1) qui avait aussi tenu en échec la Côte d'Ivoire lors de son premier match sur le score de (0-0). La Côte d'Ivoire aligne deux matchs nuls. Tandis que le Maroc sur deux matchs, en a perdu un et gagné un. Chacun des ivoiriens et des marocains est donc confiant en attendant la bataille de ce mardi. Mais les sélectionneurs de la Côte d'Ivoire Michel Dussuyer et Hervé Renard du Maroc demeurent néanmoins méfiants. Hervé Renard connaissant l'équipe ivoirienne a émis quelques réserves comme suit: "La Côte d'Ivoire a toujours pour habitude de rentrer doucement dans un tournoi comme celui-ci.
J'ai revu le match contre la RDC, je pense qu'ils pouvaient espérer beaucoup mieux qu'un match nul, surtout en 2e mi-temps. Après c'est l'efficacité qui n'a pas été au rendez-vous... Il ne faut pas s'inquiéter pour eux, ils seront présents. Si on n'est pas parfaits techniquement, ce match sera compliqué..." prévient-il. Quant à Michel Dussuyer:"Mardi, comme je l'ai dit aux joueurs, on joue un huitième de finale.
On est conscient que c'est un match couperet... Au fur et à mesure de la compétition, on est monté en puissance. C'est positif. C'est quelque chose qui doit nous booster. Personne n'a envie de rentrer à la maison, il faudra tout donner. Cela va se jouer au mental, sur la concentration, la rigueur... C'est un match avec une grosse pression, mais elle est des deux côtés. Le Maroc ne devra pas perdre..." a-t-il affirmé.
Pour lui donc, le Maroc est un adversaire qu'il ne faudra donc pas négliger. La pression est donc des deux camps et elle monte au fur à mesure. Espérons que nos pachydermes nous sortent comme en 2015, de cette autre impasse footballistique.
Par A.K
