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Zouglou : Lunic, son "risque" pour la musique fini par payer

Lancé très jeune dans le mouvement Zouglou, l'artiste Lunic a d'abord fait sensation au pays avec deux premiers albums qui ont fait un carton avant de s'installer en France en 2010. L'aventure semble à un moment ne plus le convenir à notre Kélépé national, vu qu'il est contraint de se priver de sa passion pour vivre décemment là-bas en faisant du "Djossi".

"Je percevais un salaire de 2500 Euros, mais je n'étais heureux car privé de ce que je voulais véritablement faire", nous a-t-il confié. Voyant sa carrière hypothéquée dans cette aventure européenne, NGuessan Jean Jacques rentre en contact avec son mentor et son "père" Aimé Monoko de Maranatha Production.

Image associéeCelui-ci ayant vécu la même expérience, comprend aisément la préoccupation de Lunic, lui tend la perche. Lunic reprend l'aventure musicale avec les single "On sait mais on fait" le 14 février 2016, "Enfant béni" en août 2016 et en novembre dernier "Abidjan est risqué. Rentré à Abidjan et accueilli à bras ouvert par le Boss de Maranatha Production, démarre ainsi une nouvelle aventure pour l'artiste.

Cela se résulte par single "Abidjan est risqué". Cette uvre de Lunic qui signe son grand retour, est en passe de devenir le titre Zouglou du moment, car très apprécié par les mélomanes. Déjà, la vidéo qui vient d'être réalisée est réclamée par les grandes chaînes télévision. Une nouvelle aventure commence pour Lunic avec Maranatha Production.

Par A.K

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