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Rien à cacher : Le porte-parole des victimes des attentats de Grand-Bassam accuse le gouvernement ivoirien non-assistance

Ce lundi 13 mars 2017, ça fait exactement un an que la ville de Grand-Bassam a été le théâtre de terribles attentats. Attaques perpétrées par des terroristes qui ont sauvagement ôté la vie à une vingtaine de personnes et fait 33 blessés.

Si les morts ont été pris en charge (conservation, transfert et l enterrement), et les blessés médicalement par le gouvernement ivoirien, il n en demeure pas moins pour d autres victimes. Selon les informations livrées par le porte-parole des victimes des attentats de Grand-Bassam, M. Emile EBROTIE, à l émission Rien à cacher ce samedi 11 mars, les victimes économiques, notamment complexes hôteliers et autres commerces ayant subi beaucoup de dégâts matériels et autres, courent après le gouvernement ivoirien pour obtenir des dédommagements. Constituées en collective depuis les attaques, ces victimes ne lâchent pas prise.

Contrairement aux victimes physiques et morales qui n ont rien reclamé. Pour M. Emile EBROTIE, la gestion de l après attentat importe plus. Car même si la sécurité a été renforcée au niveau de la ville historique, il faut encore entretenir la vigilance pour éviter d autres attaques. Par ailleurs, il a invité tous les Ivoiriens à être solidaires aux victimes des attentats en se rendant massivement à Grand-Bassam ce lundi 13 à la cérémonie commémorative. Cérémonie du premier anniversaire de cette attaque meurtrière qui sera présidée par le Chef de l État Alassane Ouattara.

Yolande K.

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